Sacrifices

Rédigé par Sébastien Bruneau | Classé dans : Philosophie Ellis Bextor

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05 | 11

Comme dans Fort Boyard, il arrive un moment où il faut savoir faire des sacrifices... Le tout est de savoir qui, à quel moment, et surtout qu'est-ce qu'on pourra y gagner...

Quand on fait un sacrifice, il faut souvent réfléchir à ses conséquences. Même si parfois, paradoxalement, un sacrifice est sensé nous sortir d'une situation désespérée et donc pour laquelle il n'y a pas à réfléchir...

Quand on réfléchit mal avant coup, les conséquences peuvent être plus ou moins graves, et mener à des situations plus ou moins complexes. On en revient encore à cette histoire de chowa (oups, ça m'a échappé, je ne voulais pas parler sbéquéen dans cet article).
Quand on doit faire un choix, par définition, c'est que l'on doit sacrifier un ou plusieurs autres choix. Et justement, depuis qu'on m'a imposé cette connerie de nouveau mode de vie - à savoir, devoir faire des choix - les sacrifices que je dois faire semblent toujours être les mauvais.

Délaisser des personnes, des objectifs, des principes, pour d'autres personnes, objectifs, et principes, ben... y'a un moyen où ça peut faire mal. Soit à cause des personnes pour qui on a fait des sacrifices, parce qu'elles ne les voient pas, ou parce qu'elles nous laissent tomber ; soit à cause des personnes que l'on a sacrifié, lorque l'on se rend compte que c'est sur elles que l'on pouvait compter...

Même si aujourd'hui, et je le dis en tout honnêteté, je pense être tout à fait capable de mener de front une dizaine projets importants en parallèle, je pense que la vie la plus saine est celle de celui qui ne choisi qu'une bataille à la fois.
C'est David qui m'a voulu m'imposer cette idée, et il avait raison. Je note au passage qu'il est la première personne citée explicitement sur ce blog, et ça va rendre jalouse au moins une personne, mais j'assume. Internet, c'est le lieu de défoulement de tous les esprits tordus du monde, et pas un endroit où l'on parle de choses sérieuses.

Beureffe, beute véritrousselyment, kaume ch'uis dans la nécessité d'être dans la défoulance, fallait bien un bite du texte en sbéquéen, iznite ?
Cédanldide, meume le franzé est dans le commencement de la gavance de mowa. Ch'ui dans l'asymptote flambique de me bréquer les cacahuètes à faire des dications en franzé. Nowane fait des belles dications en franzé nawe.
Wane dé, on sera dans la sacrifiance du franzé aussi, pour le sbéquéen, ouinon ? Atchikambö, gonza lé gens, fô dodo...

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